Avi Benlolo dénonce la couverture médiatique du conflit israélo-palestinien. Il critique les tentatives de certains médias de gauche d’humaniser les terroristes. Ces reportages minimisent les souffrances des victimes israéliennes. Benlolo met en lumière un traitement partial de l’information. Il soulève des questions sur l’éthique journalistique.
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- 👉 Certains médias sont accusés d’humaniser des membres d’organisations terroristes.
- 👉 La souffrance des victimes israéliennes, y compris les déplacés et les otages, serait largement ignorée.
- 👉 Des reportages et des photos de presse auraient été mis en scène pour influencer l’opinion publique.
- 👉 Cette distorsion médiatique aurait des répercussions directes sur les efforts diplomatiques.
La couverture médiatique, un miroir déformant
La partialité médiatique est au cœur des débats sur le conflit. Avi Benlolo critique le traitement du Hezbollah et du Hamas par les médias internationaux. Ces groupes sont pourtant désignés comme terroristes. Benlolo observe que certains médias transforment les agresseurs en victimes. Simultanément, ils minimisent le sort des véritables victimes. Un reportage de l’Associated Press (AP) en est un exemple frappant. Il mettait l’accent sur le « coût humain » des frappes israéliennes. Il omettait toutefois l’engagement des cibles dans une campagne de terreur. Cela crée une perception déformée de la réalité.
L’humanisation des terroristes, une tendance inquiétante
Le Hezbollah, soutenu par l’Iran, a mené une agression d’un an contre Israël. Plus de 60 000 civils ont été déplacés. Ces familles, ignorées par les médias, sont maintenant empathisées envers le Hezbollah. Le 17 septembre 2024, Israël a riposté par une frappe ciblée. L’opération a neutralisé des agents et éliminé Hassan Nasrallah. L’AP a décrit les membres du Hezbollah blessés comme des « figures tragiques ». Leurs cicatrices sont mises en avant. Leur rôle dans la terreur est à peine mentionné. Le reportage a interrogé des membres sans questionner leur implication. Cela révèle un manque d’équilibre.
Le silence assourdissant autour des victimes israéliennes
Le sort des victimes israéliennes est souvent oublié. Où est la couverture des milliers de personnes évacuées ? Qu’en est-il des soldats de l’IDF blessés ou des otages israéliens ? Ces questions restent sans réponse dans les grands médias. Des journalistes répètent des affirmations de « génocide ». Pourtant, ils ne s’interrogent pas sur la capacité du Hamas à produire des vidéos et photos soignées. Un journal allemand a révélé la supercherie. Le Hamas a mis en scène des photos de civils de Gaza tenant des pots vides, publiées sans vérification. Des photographes ont dirigé ces scènes.
« Cette cruauté de la propagande est flagrante. Les images de deux otages israéliens, Evyatar David et Rom Braslavski, ressemblent à des squelettes. Ils souffrent de la faim et de la négligence après plus de 650 jours de captivité. »
Ces clichés contrastent avec les images préparées des enfants de Gaza. Les photos d’Evyatar David et Rom Braslavski ont à peine été rapportées. C’est une omission délibérée.
La manipulation des images et l’impact diplomatique
Même publiées, les histoires peuvent être biaisées. Le New York Times a été accusé de « faute professionnelle journalistique ». Le quotidien avait publié une photo d’un enfant de Gaza émacié. Il a ensuite admis une condition préexistante. La note de l’éditeur a corrigé l’erreur, mais la sympathie était déjà fabriquée. Les vidéos grotesques d’otages israéliens souffrant réellement sont ignorées. C’est une différence frappante. Certaines images sont utilisées pour diaboliser Israël. D’autres sont cachées car elles contestent la narrative anti-israélienne.
« Gideon Sa’ar, ministre israélien des Affaires étrangères, l’a dit clairement : la capitulation occidentale a directement saboté l’accord sur les otages. »
Cette manipulation n’est pas nouvelle. Une tentative concertée vise à peindre les agresseurs comme des victimes. Le Hamas a abandonné les pourparlers de cessez-le-feu après l’intention du Canada, du Royaume-Uni et de la France de reconnaître un État palestinien. Le Hamas a compris que les apparences donnent un avantage diplomatique. Il n’y a pas d’indignation pour les familles d’otages. Pas de couverture pour la condition brutale d’Evyatar David. Pour une grande partie des médias, certaines vies semblent avoir plus de valeur. Cette distorsion de la perception publique est une arme dangereuse. Elle est aujourd’hui brandie contre le peuple juif.
