L’actrice Lindsay Lohan a récemment révélé souffrir d’un syndrome de stress post-traumatique (SSPT). Elle attribue ce diagnostic à la pression constante et intrusive des paparazzi vécue durant son enfance. Cette exposition médiatique précoce a profondément marqué sa vie personnelle et professionnelle.
⚡ Pas assez de temps ? Un résumé vite fait !
- 📸 La star Lindsay Lohan souffre d’un syndrome de stress post-traumatique sévère.
- 🚨 Ce trouble est lié à l’attention intrusive des paparazzi vécue très jeune.
- 🇦🇪 Elle a choisi de vivre à Dubaï pour mieux protéger sa vie privée et sa famille.
- 📱 L’actrice préfère que les fans demandent des égoportraits plutôt que de la filmer secrètement.
Le poids de la célébrité précoce
Dans une entrevue accordée au journal britannique The Sunday Times, l’actrice a abordé ce sujet délicat. Lindsay Lohan, connue depuis l’enfance, a expliqué les séquelles psychologiques de cette hyper-exposition. Elle a notamment exprimé sa crainte que sa propre famille ne vive des situations similaires. La surveillance constante des médias a eu un impact durable sur son bien-être.
«Je ne veux pas que ma famille vive un jour l’expérience d’être poursuivie par les paparazzi comme je l’ai été. Ce sont des moments terrifiants que j’ai vécus – je souffre d’un syndrome de stress post-traumatique (SSPT) extrême à cause de ces choses. Les situations les plus invasives. Vraiment effrayantes. Et je prie pour que ce genre de choses ne revienne jamais. Ce n’est pas sûr. Ce n’est pas juste.»
Une vie à l’abri des regards
Face à cette pression, Lindsay Lohan a pris une décision radicale. En 2014, elle a quitté les États-Unis pour s’installer à Dubaï. Ce déménagement visait à retrouver une forme de normalité et de confidentialité. C’est là qu’elle a rencontré le financier Bader Shammas. Ils se sont mariés en 2022.
L’année suivante, en 2023, le couple a accueilli son premier enfant, un fils nommé Luai. La protection de leur intimité familiale est une priorité absolue pour la star. Elle et son mari discutent régulièrement des meilleures façons de préserver leur enfant de l’œil du public. Ils souhaitent lui offrir une enfance sereine, loin des intrusions médiatiques.
L’évolution de l’exposition publique
Lindsay Lohan reconnaît une certaine évolution dans le monde des célébrités. Elle estime que l’attention des paparazzi est moins intense aujourd’hui qu’à son époque. Les réseaux sociaux ont joué un rôle majeur dans ce changement. Ils permettent aux personnalités de contrôler leur propre narration. Cette autonomie était absente lorsqu’elle était enfant.
«C’était bien pire quand j’étais plus jeune,» a-t-elle affirmé. Au fil des ans, l’actrice a appris à distinguer sa vie privée de sa vie publique. Ce processus a été difficile, car personne ne lui a jamais enseigné cette compétence. Elle a dû l’acquérir par elle-même, au prix de nombreuses épreuves.
Le respect de l’espace personnel
L’actrice a également exprimé sa préférence concernant les interactions avec ses admirateurs. Elle favorise les demandes directes pour des égoportraits. En revanche, elle se sent extrêmement mal à l’aise lorsque des fans la filment sans permission. Cette pratique envahissante génère de l’anxiété et de la méfiance.
«C’est effrayant. Cela met très mal à l’aise, a-t-elle ajouté. Je préfère que quelqu’un demande s’il peut prendre une photo, sinon on se méfie de chacun de ses mouvements.»
Un retour sous les projecteurs
Malgré ces défis personnels, Lindsay Lohan continue de travailler. Elle fait actuellement la promotion de la comédie fantastique Freaky Friday 2. Ce film est la suite du succès de 2003. Le long métrage met également en vedette la célèbre actrice Jamie Lee Curtis. Sa sortie en salle est prévue le 6 août, marquant un retour notable sur les écrans.
