Le député israélien Dan Illouz a récemment exhorté le Canada à reconsidérer sa position sur la reconnaissance d’un État palestinien. Membre de la Knesset, il estime que le Canada devrait plutôt reconnaître la souveraineté israélienne sur la Judée-Samarie, connue comme la Cisjordanie, arguant que cela refléterait mieux les valeurs démocratiques et de clarté morale.
⚡ Pas assez de temps ? Un résumé vite fait !
- 🎯 Le député israélien Dan Illouz presse le Canada de reconnaître la souveraineté israélienne sur la Cisjordanie.
- 🚨 Il critique vivement l’idée de reconnaître un État palestinien, la considérant comme une récompense au terrorisme post-7 octobre.
- 📜 Illouz affirme que la Cisjordanie est le foyer historique du peuple juif, un droit reconnu par l’histoire et la loi.
- 🇨🇦 Il appelle le Canada à retrouver sa clarté morale en matière de politique étrangère.
Le plaidoyer d’Illouz pour la clarté morale
Dan Illouz, qui a grandi au Canada, insiste sur l’importance de la clarté morale. Il croit qu’une démocratie doit poser des limites claires. Pour lui, récompenser la violence ne mène jamais à la paix. Il voit la position canadienne actuelle comme un abandon des valeurs qu’Ottawa prétend défendre.
Le député s’est dit consterné par l’intention canadienne de reconnaître un État palestinien. Il juge cette idée inappropriée, surtout après l’attaque du 7 octobre. Ce serait un revirement dangereux pour la tradition de leadership moral du Canada.
« Le 7 octobre n’a pas été un simple chapitre. Ce fut un test moral clair pour le monde libre. Trop nombreux y ont échoué. Reconnaître un État palestinien maintenant encouragerait les terroristes. »
Les critiques envers la réponse canadienne
Après l’attaque du 7 octobre, la réponse canadienne aurait dû être immédiate et résolue. Des escadrons du Hamas, soutenus par l’Iran, ont attaqué Israël. Ils ont assassiné environ 1 200 personnes, dont des bébés, des femmes et des aînés.
Le Canada, au lieu de soutenir la victime, a vacillé et tergiversé. Il a semblé condamner le droit d’Israël à la légitime défense plus sévèrement. Il a toléré la haine antisémite dans ses rues et sur les campus universitaires. Pour Illouz, cela nourrit l’illusion qu’un État peut naître du terrorisme.
La proposition de souveraineté israélienne sur la Cisjordanie
Illouz propose que le Canada reconnaisse la souveraineté israélienne sur la Judée-Samarie. Ce territoire est historiquement connu comme la Cisjordanie. Il soutient que ce n’est ni une annexion ni un déplacement. C’est l’application formelle de la loi israélienne sur le foyer historique du peuple juif.
La Judée-Samarie n’est pas un territoire étranger. C’est le berceau de la civilisation juive. Des villes comme Hébron, Shiloh et Jérusalem en sont des preuves. En 1920, la Société des Nations a reconnu le droit juif. Elle a créé un foyer national par le Mandat pour la Palestine. Israël est l’héritier naturel de ce mandat.
« La vérité est qu’il n’y a qu’un seul État entre le Jourdain et la mer Méditerranée, l’État d’Israël. Le monde doit affirmer ce fait en reconnaissant la souveraineté israélienne sur la Judée-Samarie. »
Mettre fin à l’ambiguïté
L’application de la souveraineté mettrait fin à une longue ambiguïté. Cela normaliserait la gouvernance et consoliderait les frontières. Tous les résidents seraient protégés par un système juridique unifié. Ce système serait fondé sur les principes démocratiques israéliens et l’état de droit.
Un message clair pour la paix
Le 7 octobre a brisé bien des illusions. Le Hamas ne veut pas de compromis, mais du carnage. L’Autorité palestinienne, corrompue et glorifiant le terrorisme, n’offre aucune alternative crédible. Reconnaître un État palestinien maintenant validerait ces acteurs.
Reconnaître la souveraineté israélienne enverrait un message inverse. Le terrorisme a des conséquences, non des récompenses. Les frontières sont définies par le droit et l’histoire, pas par les roquettes. Cela aiderait les Palestiniens en leur offrant stabilité et sécurité. Le Canada fut parmi les premiers à reconnaître Israël. Il doit faire preuve de la même clarté aujourd’hui.
